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Traitement de la ménopause : des hormones chimiques à la médecine alternative

janvier 19, 2021

Traitement de la ménopause : des hormones chimiques à la médecine alternative

La ménopause provoque divers symptômes chez les femmes, plus ou moins dérangeants. Entre les bouffées de chaleur, la fatigue et les risques d’incontinence ou d’ostéoporose notamment, trouver un traitement adapté peut s’avérer indispensable pour mieux surmonter cette période. Quelles sont les options possibles ?

Le traitement hormonal substitutif de la ménopause

Le traitement hormonal substitutif consiste à recevoir des hormones pour compenser la perte de celles qui étaient alors jusque-là produites par les ovaires. Ce traitement de la ménopause n’est pas automatique ni obligatoire. Il est prescrit si les symptômes, comme des bouffées de chaleur intenses, une irritabilité fréquente ou encore une fatigue extrême, deviennent impossibles à supporter au quotidien. Il faut également ne pas présenter de contre-indications à ce traitement.

Certaines études ont montré une augmentation des risques de cancer du sein lié au traitement hormonal substitutif. C’est pourquoi il est recommandé de prendre la plus petite dose efficace possible. Celle-ci est évaluée au cas par cas et des visites régulières chez le médecin sont nécessaires pour réévaluer la dose selon les symptômes. La dose ainsi définie peut s’administrer sous la forme d’un comprimé ou d’un timbre, par exemple.

Le traitement hormonal substitutif doit être temporaire. Par prudence, il ne doit pas être poursuivi au-delà de 5 ans bien que de plus en plus d’études récentes montreraient un avantage à le poursuivre au-delà voire même in vitam.

 

Ménopause :
des traitements alternatifs ?

Pour les femmes ménopausées qui désirent éviter les traitements hormonaux et les risques qui y sont liés, il est possible d’atténuer les symptômes grâce à des traitements alternatifs. Leur efficacité n'est pas à négliger et peut procurer grands soulagements et bienfaits.

Parmi ces médecines douces ou parallèles, on retrouve l’acupuncture, l’homéopathie, l’ostéopathie ou encore la phytothérapie (voir notre formule). Cette dernière consiste à prendre des compléments alimentaires contenant des phytœstrogènes d’origine végétale. On en trouve notamment dans la sauge, le soja, le trèfle rouge et le houblon. La vitamine E et le cimicaire (herbe de Saint-Christophe) peuvent également être utilisées.